SWG RCP: Médias/Multimédias – l’assurance professionnelle pour les relations publiques
9 décembre 2020
Les consultants en relations publiques ont plusieurs chapeaux. Consultants pour la marque de commerce, gestion des médias, gestion d’événements, les agences en relations publiques sont responsables de plusieurs facettes de l’identité corporative et de l’image publique de leurs clients. Avec ces nombreuses tâches, il est difficile de tout suivre à la lettre, alors le risque qu’une erreur survienne est un grand souci pour ces professionnels. De plus, les consultants en relations publiques mettent la réputation de leurs clients en jeu en même temps que la leur. Si le consultant fait une erreur, le client va demander réparation.
Avec un courtier qui est au fait de leur industrie, les consultants en relations publiques peuvent éviter plusieurs surprises et des frais onéreux lorsqu’il s’agit d’erreurs non intentionnelles, d’omissions et autres fautes qui peuvent mener à des pertes financières pour le client – et, potentiellement, à une poursuite.
Un risque commun: les cas de violation de droits d’auteur
Il est assez facile de commettre une violation de droit d’auteur dans l’ère des médias sociaux. Nous avons vu, par exemple, un détaillant en ligne se faire poursuivre pour avoir copié un commentaire sur Twitter et l’avoir imprimé sur ses t-shirts (1). Aussi, une compagnie peut se faire poursuivre pour l’utilisation dans leurs campagnes de promotions ou leur site internet les émissions, images, vidéos ou commentaires sur les réseaux sociaux de tierces parties.
Les consultants en relations publiques se font confier les marques et les réputations de leurs clients, alors ils doivent être très prudents avec les médias qu’ils utilisent lorsqu’ils représentent leurs clients lors de publicités et d’événements promotionnels.
Selon le site internet du Gouvernement du Canada, les droits d’auteur durent 50 ans après l’année calendrier là où la matière a été produite. Les pièces comme les œuvres littéraires ou la musique ont des droits d’auteur qui durent 50 ans après que l’auteur/l’artiste décède. (2)
Mais, les droits d’auteur et le plagiat ne sont pas les seules choses que les consultants en relations publiques doivent se méfier.
Autres risques pour les consultants en relations publiques
Les risques auxquels les consultants en relations publiques font face comprennent :
- Les pertes financièresà cause de la négligence. Par exemple, une échéance manquée pour un communiqué de presse ou un blitz publicitaire peut engendrer des délais pour le lancement d’un produit, ce qui fait que le client ne pourra pas profiter de la saison du magasinage des fêtes.
- Le client allègue que le consultant lui a donné des mauvais conseils stratégiques, ou a conçu une mauvaise stratégie de communication qui a menéà une perte financière.
- Une mauvaise vérification des faits de la part d’un consultant en relations publiques ou le manque de soin dans une recherche mèneà de mauvais conseils d’affaires ou de mauvais conseils d’investissement.
- Le manque de recherches de la part d’une agence en relations publiques et une mauvaise vérification des faits mèneàdes erreurs dans le contenu produit par l’agence.
- Un employé de l’agence en relations publiques vend de l’information confidentielle, comme de l’information sur le client ou des données colligées pour les études de marchéà d’autres firmes.
- Les calomnies, diffamations, mauvaises citations ou représentation négligente du client.
- L’invasion de la vie privéeou l’atteinte à la confidentialité.
Les protections de l’assurance responsabilité professionnelle SWG RCP sont faites sur mesure pour les consultants en relations publiques
L’assurance responsabilité SWG RCP – Médias/Multimédias est faite pour les éditeurs, diffuseurs et les autres firmes œuvrant dans les médias. Cette police peut être émise sur la base de réclamation présentée ou survenance des dommages et offre une protection contre les poursuites découlant de diffamation, invasion de la vie privée, violation de droits d’auteur et de marques de commerce, plagiat ainsi que les erreurs et omissions découlant du contenu produit par les compagnies dans le monde des médias.
Faits saillants :
- Protections offertes en base de survenance de dommages ou de réclamation présentée;
- Responsabilité des médias comprenant l’erreur et omission dans le contenu;
- Une approche tous risques qui ouvre la porte aux futures théories en responsabilité civile;
- La possibilité d’inclure la détresse émotionnelle (habituellement exclus);
- La couverture des médias, comprenant les entités médiatiques et les activités;
- La définition de réclamation comprend les dommages monétaires, aide non-monétaires ou aide par injonction;
- Les actes fautifs liés aux médias comprennent: la diffamation, l’invasion de la vie privée, la détresse émotionnelle, les mauvaises entrées, les fausses arrestations, le harcèlement, l’atteinteà la confidentialité la violation des droits d’auteur et des marques de commerce, les mauvaises pratiques d’entreprises et la conspiration;
- La définition de la matière comprend: la publicité, l’art, les blogues, l’expression créative, les données, le divertissement, les films, les faits, la fiction, les graphiques, l’information, les compositions littéraires, la musique, les nouvelles, les photos, la photographie, les opinions, les extraits sonores, les vidéos et les sites internet;
- La définition de pertes comprend: protection contre les dommages punitifs, exemplaires ou multipliés jusqu’aux limites permises par la loi.
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Sources: