Selon un rapport émit par le Conférence Board du Canada, d’ici 2026 on estime que près de 2,4 millions de Canadiens âgés de 65 ans et plus auront besoin d’un soutien en soins continus – une augmentation de 71% depuis 2011. Les soins aux aînés seront un risque de plus en plus grand lorsque les établissements desserviront un plus grand pourcentage de la population, ayant comme résultat l’élargissement du besoin de la protection d’assurance. Les couvertures de base habituelles telles que les biens, le crime et la responsabilité professionnelle sont essentielles dans une police d’assurance de soins aux aînés, mais d’autres besoins importants sont souvent négligés. Myra Capinpin et Eugene Wangyal, deux souscripteurs du groupe d’assurance MedThree Insurance Group, nous indiquent les écarts de protection communs qu’ils rencontrent en assurant des établissements de soins aux aînés. • Couverture informatique non existante ou inadéquate, surtout pour les crimes informatiques. • Limites de responsabilités insuffisantes pour traiter les expositions globales où plusieurs résidents sont affectés. • Manque de couverture de tierces parties en cas de vol de fonds des résidents par des employés. • Sous-limites inadéquates pour l’aménagement paysager, le pavage des trottoirs et des stationnements. • Protection non existante ou insuffisante pour palier aux coûts d’hébergement alternatifs des résidents suite à une perte. • Limites insuffisantes pour l’interruption des affaires et les périodes d’indemnisation – au minimum elles devraient être de 18 à 24 mois. • Omission d’obtenir une protection d’actes antérieurs lors du passage d’un formulaire de réclamation à un formulaire d’incident. • Limites de protection des biens sous-assurés, car les coûts de la bâtisse et des équipements augmentent rapidement dans ce secteur. • Manque de protection suffisante du revenu de l’entreprise dans le cas d’une évacuation ou d’un accès limité suite à une épidémie d’une maladie contagieuse.
